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jeudi 7 février 2013

260. Il était 3 fois ... (suite et fin) (Janvier / Février 2013)

     Voici (pour l'instant) 2 des 3 textes inventés par la classe.


http://cm2marcy.blogspot.fr/2013/01/247-il-etait-3-fois-17-et-31-janvier.html




Le vieux et la pipe magique




          Il était une fois, un vieux monsieur qui vivait dans une forêt et qui habitait dans un cabanon perché dans un arbre. Tous ses voisins l’avaient surnommé « Vecchio »  car  en peu de temps son apparence était devenue … celle  d’un vieillard. Il portait maintenant de longs cheveux blancs et une grande barbe de la même couleur. Seules quelques dents ornaient sa bouche et de grosses rides creusaient son visage. Il regrettait le temps où il était jeune, très beau et où toutes les filles de la forêt voulaient l’épouser. Mais en ce  temps là, Vecchio refusait de se marier. Maintenant, le temps avait passé, il était triste et malheureux et ne souhaitait qu’une seule chose rajeunir.  Au pied du même arbre, dans une vieille bicoque, vivaient Paul, un beau garçon de 14 ans dont le vieux était jaloux et Pauline, sa sœur âgée de 16 ans,  qui était triste de ne pas connaître d’amoureux.

           Un jour, « Vecchio » qui se souvenait que son ami le nain l’avait déjà aidé plusieurs fois, se décida d’aller lui demander conseil. Et, en effet, ce dernier lui annonça qu’il pourrait bien faire quelque chose pour lui. Le nain savait par exemple que le troll « Ronchon » possédait une pipe dont la fumée était magique. Cette fumée avait le pouvoir de changer l’apparence d’une personne et surtout de lui redonner … sa jeunesse ! Après une courte discussion, le petit ami accepta de se rendre chez le troll. Or, « Badaboum » tel était son nom, était un rêveur ; les yeux toujours en l’air à regarder les étoiles, il trébuchait sans cesse. Lorsqu’il partit à travers les chemins de la forêt voisine pour aller chez Ronchon, Badaboum trébucha logiquement à de nombreuses reprises.

          Arrivé, chez la grande créature, le nain glissa sa main sous la porte mais elle fut capturée par un piège à souris. Déçu de sa maladresse, il rentra chez Vecchio pour lui expliquer. Le jour suivant, il repartit chez le troll plein d’espoir. Comme d’habitude, Badaboum tomba plusieurs fois en chemin. Puis, en arrivant chez le troll, il décida d’escalader le toit. Il monta doucement, doucement, tout doucement et … tomba dans la cheminée ! Le feu aux fesses, le pauvre nain sortit en courant de chez Ronchon qui n’avait rien compris a ce qui s’était passé. Vite, il se jeta dans la mare pour éteindre les flammes qui dévoraient son pantalon. Il avait échoué une fois encore. Il était très déçu ; Vecchio aussi :
« Tu es gentil Badaboum, mais tu n’y arriveras pas ! Le troll est très malin et maintenant, il a compris. Tu ne pourras jamais rentrer chez lui.
- Ne t’inquiète pas, pleurnicha Badaboum, je vais réussir. Je te le promets ! »

          Badaboum avait peut-être promis trop vite … Il ne savait pas du tout comment faire. Encore une fois, il partit la tête en l’air à travers les chemins. Comme d’habitude, il trébucha sur des pierres, sur des racines et tomba même dans la mare qui lui avait permis de sauver son pantalon. Or, au moment où il rejoignit la rive, il découvrit un trou. Un passage secret !
Avec grande attention, Badaboum avança quelques instants dans le noir jusqu’au bout de ce fameux passage. Et là, avec un immense bonheur, il découvrit la demeure du troll et plus exactement sa chambre. La créature, comme à son habitude, ronchonnait dans son sommeil. Le nain sortit de derrière une tenture de tissu, s’approcha sans faire de bruit et s’empara de la pipe de Ronchon qui était posée sur une petite commode. Il rejoignit le passage secret, ressortit de la mare et courut du plus vite qu’il put. Cette fois-ci … il ne tomba pas. Dans sa tête, il ne pensait qu’à une chose : il pourrait enfin aider son ami !

          Caché derrière l’arbre où vivait Vecchio, Badaboum attendit patiemment que le frère et la sœur sortent de leur maison. Alors, il alluma doucement la pipe ; une  fumée blanche tourbillonnait autour de lui. A l’arrivée de Paul, il sortit de sa cachette et tout en s’approchant, lui envoya de la fumée dans le visage. Rien ne se passa si ce n’est que le jeune homme toussa. Badaboum s’excusa et, contrarié, alla voir  Vecchio :
« Je dois y arriver à tout prix annonça-t-il au vieil homme. Je te vois si malheureux ! »

          Le lendemain, Badaboum attendit une nouvelle fois le garçon. Paul n’était pas chez lui. C’est au détour de la forêt qu’il aperçut le beau jeune homme qui se promenait. Sans se poser de question, le nain inspira une énorme bouffée de fumée, s’approcha par surprise et la recracha en direction du visage juvénile. Et cette fois, en un instant, le jeune homme prit des dizaines d’années. Il perdit sa belle chevelure et lorsque sa peau devint toute ridée, il s’enfuit vers l’endroit le plus sombre formé par les arbres :
« Quelle merveille ! s’écria Badaboum. J’ai enfin réussi. Mon ami va être fier de moi ! »
De retour chez Vecchio, le nain vit un superbe jeune homme assis sur le canapé. Le tour de magie avait réussi !

          Bien que portant mal son nom, Vecchio reprit ses balades à travers la forêt en espérant secrètement rencontrer une belle jeune fille. Dès le premier soir, il aperçut sa jolie voisine. La magie fit le reste ; au premier regard, ils tombèrent amoureux.
Paul qui avait tout vu, était heureux pour Pauline. Sa sœur était enfin amoureuse et allait épouser un  beau jeune homme. Quant à lui, sa beauté et sa jeunesse n’avaient plus guère d’importance ! On dit même qu’il  organisa  en cachette une merveilleuse fête où tous les habitants furent invités.  Pauline ne revit jamais son frère mais elle avait trouvé le beau visage de Vecchio …



Clara RM / Jeanne / Louis D / Alexandra / Thibault / Emilie / Marie G / Clara F / Marie C / Louis Q et ... Nicole





Pourquoi les vampires ont-ils
deux dents pointues ?




          Il était une fois, dans une forêt sombre humide et marécageuse, un château délabré et bizarre. Son vieux portail qui battait au vent grinçait sinistrement et son jardin était recouvert de ronces. En fait, c’était un ancien cimetière. Par endroit, des restes de pierres tombales apparaissaient. Elles étaient plus ou moins cassées avec des inscriptions effacées et, çà et là, on pouvait  y voir quelques traces de sang séchées. Ici, le paysage était constamment dans le brouillard ; bref c’était une ambiance très lugubre.
         
          Dans ce château, vivait une famille du nom de Vampire. Il y avait le père Alucard, la mère Alucarda et leurs deux enfants, la sœur et le frère, Alucardi et Alucardo. Or chacun d’entre eux … n’avait pas de dent ; pas de dent du tout ! Ceci les rendait  fort malheureux car ils devaient avaler leur nourriture sans la mâcher d’où des étouffements fréquents lorsqu’ils étaient à table. Chaque matin, la mère Alucarda emmenait ses deux enfants dans la forêt afin de ramasser du bois pour le feu et aussi pour leur apprendre à chasser les animaux.

          Ce jour-là, ils aperçurent un renard. Sans bruit, ils l’encerclèrent et le tuèrent à coup de pics en bois pointus. Puis, ils sucèrent son sang et le déchiquetèrent avec leurs ongles aiguisés et crochus. Or, un loup garou avait observé la scène de loin. Pendant que la mère et le fils terminaient leur tache macabre, Alucardi s’éloigna pour ramasser encore un peu de bois mort. Soudain l’animal surgit près d’elle. Surprise, elle lâcha sa brassée de bois. Stupéfaite et éblouie par la beauté de ce beau loup, elle resta sans voix lorsqu’il lui annonça :
« Ne t’en fais pas, je ne vais pas te manger. Au contraire, devenons amis. Viens me rejoindre demain au même endroit sous la pleine lune. Et, surtout, pas un mot. A personne !» 
La jeune fille rentra chez elle  toute bouleversée ; ses jambes tremblaient. Peut être bien qu’elle était tombée amoureuse …

          Le lendemain soir, Alucardi se rendit au rendez-vous. Cependant, elle marcha jusqu’à la forêt  sans se rendre compte que son père la suivait de loin.
Au moment où les deux amoureux allaient s’embrasser, le père Alucard surgit du buisson où il était caché. D’énervement, il bondit sur le loup et hurla :
« Ne touche pas à ma fille !
-Nous ne faisons rien de mal répliqua l’animal. Nous avons le droit de nous aimer ! 
-Loup, écoute, j’ai une idée se calma le père. Je te donnerai ma fille si en échange tu me donnes deux de tes très belles canines. Tu sais les plus pointues. J’en rêve depuis que je suis petit d’avoir de telles dents !
-Mais tu rêves Alucard ? Je ne vais pas te donner mes dents. »

          C’est alors qu’une bagarre phénoménale commença entre le loup-garou et Alucard. On entendait les coups pleuvoir à des kilomètres à la ronde. Quand soudain, du sang gicla de la gueule de l’animal qui était au sol et que deux de ses plus belles dents tombèrent au pied du père. Plus question de bagarre. Pendant que le loup garou tentait de se relever, Alucard ramassa les crocs précipitamment et essaya de les enfoncer dans ses gencives. Hélas, elles retombèrent aussitôt. La panique l’envahit … Que faire ?
Soudain, il se souvint du Zombie, le dentiste, qui habitait au fond des marécages. Il se précipita donc chez lui tandis que les deux amoureux étaient restés dans la forêt :
« Zombie, mon ami, peux-tu m’aider ? Regarde. Voici le trophée que je viens de gagner en luttant contre le loup garou qui voulait  épouser ma fille. Ces dents, je les attendais depuis mon  enfance.
-Pas de problème. Je suis le spécialiste de toutes les dents … Mais, il va falloir sortir ton porte-monnaie !!! » ricana le dentiste.

          Un  mois plus tard, par une journée sans brouillard, on célébra le mariage d’Alucardi et de son amoureux édenté. En guise de bienvenue dans le nouveau clan et pour remercier de les avoir invités à cette grande fête, des loups garous avaient offert deux de leurs dents aux autres membres de la famille Vampire.
Inutile de dire que le Zombie dentiste avait fait fortune et avait ouvert le plus grand cabinet dentaire de toute la forêt …

          Sur la photo du mariage, les quatre Vampire souriaient en montrant bien leur nouvelle dentition.
Et c’est depuis ce temps que les vampires en tous genres … ont deux dents pointues.


Maxime / Ben / Lucie / Lina / Benjamin / Anaïs / Faustine / Alban / Elena / Samuel / Matias et ... Marie-France






Mais qui est le monstre ?





          Il était une fois, au commencement de la Terre, une tribu composée de petits êtres appelés « nains » qui vivait sur une île perdue au milieu de l’océan. Tous vivaient isolés, en paix et heureux.
Tous ? Non … L’un d’eux était différent. Il était même mis à l’écart par le reste du village depuis toujours car on le trouvait bizarre. Iris, tel était son nom, était moins fort physiquement que les autres nains. De plus, il préférait passer son temps à inventer des objets, des machines ou encore rêver d’un ailleurs pendant que ses camarades et voisins s’entraînaient à se battre, à être forts … ou faisaient la fête !

          Un jour, un bateau volant de l’île voisine leur amena des cadeaux. Les nains trouvèrent des tissus et des paniers de fruits. Une fois de plus, ils organisèrent une fête … pour célébrer ça ! De chez lui, Iris observait la scène qui était pourtant très loin. En effet, il avait inventé une sorte de télescope.

          Mais, la nuit suivante, un drame arriva. Léo, le fils du chef se fit attaquer par une bête sauvage. Un monstre ! Puis, une nouvelle attaque eut lieu chaque nuit suivante pendant toute une semaine. Au huitième jour, ce n’était plus possible ; les villageois se rassemblèrent afin de trouver une solution. Même Iris y assista, tout en restant discret dans un coin.Tous voulaient partir en guerre, prendre leurs armes et aller chercher ce monstre dans la forêt.
Au milieu des cris, Iris s’avança vers le chef et lui dit en tirant sur sa manche :
« Chef ! Chef ! Je ne crois pas que cela soit une bonne idée de foncer tête baissée dans la forêt sans rien savoir… Je pourrais vous aider en allant auparavant observer les lieux des attaques ?
-Toi ? Nous aider ? Hahahaha, ne sois pas ridicule !! Tu ne sais rien faire. Va donc rejoindre tes inventions stupides ! »

          Les hommes du village s’armèrent et partirent, comme prévu, pour la forêt. De son côté, Iris, vexé, se dit qu’il ferait bien l’enquête mais tout seul ! Il se dirigea alors vers la maison de la dernière attaque. Finalement, il serait tranquille pour mener ses recherches. Arrivé sur les lieux, il fit le tour du jardin, vit une fenêtre cassée par laquelle le monstre était sans doute passé. C’est alors que le soleil fit briller un objet qui attira son attention : c’était la broche que portait chacun des membres du village afin de montrer son appartenance. Aucune des victimes n’ayant perdu la sienne, celle-ci était forcément … à la bête. A la bête ? Le monstre était donc un villageois ? Mais comment était-ce possible ? Cela ne pouvait qu’être dû à un sort jeté sur l’un des nains.

          Après réflexion, Iris se souvint que parmi toutes ses inventions, l’une d’entre elles permettait de voir toute magie. Donc, armé de ses jumelles infra-magie, il fit le tour de toutes les maisons du village. Arrivé chez Léo, jumelles sur le nez, il remarqua un étrange halo noir autour d’une pêche posée sur la table du salon. Il en déduisit que ce fruit démoniaque pouvait transformer le fils du chef en monstre. Iris se souvenant qu’il l’avait vu en « pleine forme » le matin … le monstre devait agir uniquement la nuit.
Il fallait trouver une aide. Iris parcourut alors la forêt où vivait un Elfe, nommé Azur. Celui-ci avait été élevé par une sorcière qui lui avait enseigné tous les mystères des bonnes comme des mauvaises potions. Il accueillit Iris chaleureusement et accepta de l’aider sans aucune hésitation. Il lui expliqua ensuite que contre les méfaits d’un poison comme celui dans un fruit, il fallait l’antidote adéquat : la pomme angélique. Elle poussait sur un vieil arbre à la sortie de la forêt mais le passage était bloqué par un Troll.
          
          Iris devait essayer. Il se mit en route et traversa l’île en suivant les chemins tortueux de la forêt. Il passa près de la maison de la mauvaise sorcière qui éduqua Azur. Or, c’était elle qui commandait le Troll. Le nain arriva tout près ; il sentait l’odeur nauséabonde du Troll. Celui-ci dormait à grands ronflements. Iris savait que jamais personne n’avait réussi à franchir ce passage ; tous ceux de son village qui avaient tenté de combattre le gardien de l’arbre étaient soit morts, soit disparus. Mais Iris avait quelque chose que les autres nains n’avaient pas. Il était malin et ingénieux.
Lorsqu’il arriva à quelques mètres seulement de l’horrible créature, il sortit de son sac l’une de ses inventions : une plaque de dissimulation. En la mettant entre lui et le Troll, ce dernier ne le verrait pas. Alors, doucement, sans un bruit et en retenant sa respiration, Iris atteignit le vieil arbre. Sur la plus haute branche, une pomme blanche et lumineuse brillait comme du cristal. Il grimpa aussi silencieusement que possible et la décrocha.
Caché derrière sa plaque, Iris passa pour la seconde fois devant le Troll et se mit à courir dès qu’il put. Ouf, il avait la pomme ! 

          Maintenant, la nuit allait tomber et il fallait qu’il retrouve au plus vite les nains de son village. Et puis, il ne voulait pas que Léo se transforme à nouveau. Il monta sur une colline et tenta de les repérer. Heureusement, ils avaient fait un feu ; Iris n’eut aucun mal à rejoindre son clan en suivant la lueur et la fumée. Arrivé au campement, tous les nains se moquèrent de lui en pensant qu’il était là pour se battre. Personne ne l’écoutait.
C’est alors que la nuit arriva et, d’un coup, Léo se mit à hurler. Ne sachant que faire, les nains paniquèrent . Et bien sûr, le pire arriva. La transformation commença. Sous les yeux surpris de ses camarades, Iris se jeta alors sur Léo et lui mit la pomme angélique entre les dents. Un tourbillon lumineux enveloppa le monstre et fit tomber Iris. Lorsque la lumière disparut, Léo était redevenu lui-même. Tous les regards se tournèrent vers Iris encore à terre.
          
          Le village écouta Iris raconter son enquête et son périple. Il était devenu le héros de son village. Le chef, comme tous les nains, s’excusa et comprit que la force n’était rien sans astuce et réflexion. Iris devint un membre important du village et, cette fois-ci nous pouvons le dire, tous vécurent en paix et heureux. Tous ? Oui, tous !

Martin / Gaëtan / Sandra / Marine / Arnaud / Claire / Margaux / Carla et ... Klervi

15 commentaires:

  1. pourquoi avez-vous mis 2 fois les contes?
    claire

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  2. Parce que sur l'autre message,
    peu d'enfants les ont vus
    et donc lus !

    Je les ai enlevés de l'autre côté.

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  3. De plus le 3ème sera ici à la suite des 2 !!!

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  4. oui et j'éspère qu'elle y sera au plus tôt !
    claire

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  5. elles sont trop bien les histoires!!!!

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  6. Guy vous avez oublier de mettre Matias dans le dernière histoire!!!!!!!!!

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  7. Je le sais parce qu'il était dans mon groupe.

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  8. Oui elles sont très bien!!!!!!!!!!

    SAMUEL

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  9. C'est quand que la dernière histoire sera sur le blog?????????????

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  10. Je trouve que en deux jours on aréussi afaire de grande histoire!!!!

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  11. Guy il y a une erreur moi Alban je ne suis pas dans cette histoire je suis dans "Pourquoi les vampires ont-ils deux dents pointus".Et aussi Samuel.

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  12. Elles sont très bien ces histoires.

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  13. merci guy d'avoir mis cette histoire !
    je vous avait promis de faire un conte pour la classe
    levoila fini !!
    claire
    ps : je suis malade !

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  14. DOMMAGE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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  15. Guy est-ce que vous nous donnerez notre histoire qu'on a inventé.

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